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Ce disque de Dalida (ph. 7, 8, 9) illustre le passage aux belles pochettes glacées du début des sixties. Il est protégé dans du carton assez épais et à l'intérieur un grand poster de Dalida se déploie. Cette belle pochette témoigne du succès de Dali et donc du soin que Barclay a mis sur la réalisation technique de ce disque.

Mark Richards & the Silver Keys (ph. 10, 11, 12)... je n'ai pu trouver d'infos sur ce chanteur et son groupe... Ceci dit ce truc est sympa à l'écoute. Son côté "typique yé-yé" et sa qualité musicale ont sans doute joué pour cette cotation relativement élevée. Si vous avez des infos sur Mark Richards et ses "clés d'argent" vous pouvez si vous le souhaitez me les communiquer. Je pourrai compléter cette page avec. On trouve également un super 45 tours de ce groupe.

Pour terminer un retour sur la chanson rive gauche avec Catherine Sauvage (ph. 13, 14, 15). Elle est surtout connue par ses interprétations de chansons de Léo Ferré. Chanter de telles chansons, à l'époque, c'était déjà faire preuve d'une sorte de militantisme et surtout d'opposition à l'ordre établi durant l'époque du Général de Gaulle. Les chroniqueurs musicaux nous disent que nombre de chansons de Léo Ferré étaient "censurées" durant les années cinquante. En fait cette interdiction n'avait rien d'officiel, il s'agissait simplement d'un boycott... Mais le résultat était le même. Dans un autre style, Jean Ferrat des années plus tard subit la même censure hypocrite.