Cinq 45 tours de Sylvie Vartan édités durant les années soixante


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. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

Parmi les disques de ma collection :

Sylvie Vartan : une icône yé-yé (4 EP+1 SP)

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image. Légendes détaillées pour certaines photos en bas de la page
(*) = Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué (lien vers vers la grille pour définir l'état des vinyles). Les disques sont présentés chronologiquement.
Mis en ligne le 15-06-16 Pour accéder aux photos ci-dessous en haute définition

Sylvie Vartan... c'est avant tout un symbole, en tout cas pour moi. Son image représentait la fille "branchée" durant les années soixante. Je pense qu'elle avait surtout du succès avec les filles qui s'identifiaient à elle. Sa présence quasi permanente sur la revue "Mademoiselle âge tendre", déclinée de "Salut les copains" en témoigne. Par opposition par exemple à Sheila elle avait un look se voulant davantage "séducteur". Sur ce créneau France Gall allait arriver... Au niveau musical c'est autre chose, j'appréciais moyennement. J'aimais bien davantage Stella, Stone, Jacqueline Taieb, Annie Philippe... Reste je me répète l'aspect "symbole générationnel" et aussi les photos des disques. Par comparaison avec nombre de ses "collègues" son visage était très photogénique. C'est par rapport à cet aspect "visuel" que régulièrement j'achète des disques de "Sylvie" période sixties lorsque l'occasion se présente. Au fil du temps j'ai déjà présenté certains super 45 tours sur le site :

http://www.vinylmaniaque.com/repertoire6/vartan-gall-cinquetti.html

cinquetti.htmlhttp://www.vinylmaniaque.com/pochettes2/sylvie-vartan.jpg

http://www.vinylmaniaque.com/repertoire3/ep-yeye-sylvie-vartan.jpg

Ses premières apparitions filmées montrent qu'elle a tout de même progressivement fait plus tard des progrès au niveau scénique, elle en avait besoin... Mais c'est je pense le cas de la plupart des vedettes "yé-yé" choisies un peu dans la précipitation tant la demande était forte. (...)

(Suite des commentaires sous les photos en bas de page)


1. EP Le Loco-motion RCA Victor 76.593 (1962-63) 20 euros*	2. étiquette	3. verso de la pochette


4. Sylvie à l'Olympia RCA Victor 86.007 (1963) 20 euros*	5. étiquette	6. verso de la pochette


7. On a toutes besoin d'un homme RCA Victor 87.076 (1969) 12 euros*	8. étiquette	9. verso de la pochette


10. Abracadabra RCA Victor 87.101 (1969) 15 euros*	11. étiquette	12. verso de la pochette


13. ( Single / SP) La chasse à l'homme RCA Victor 49.079 (1970) 7 euros*	14. étiquette	15. verso de la pochette

Sa période "post yé-yé" fut bien gérée au sens commercial du terme. Elle sut progressivement se transformer en "meneuse de revue" avec paillettes et strass. "La Maritza" lui donna une sorte d'aura de la victime du rideau de fer qui ne fonctionna que du côté français. J'ai pu l'approcher, complètement par hasard, lors d'un de ses concerts vers le milieu des années soixante-dix... L'image qu'elle m'a donnée ainsi qu'aux personnes présentes était celle d'une personne prétentieuse et agressive... Ce n'est qu'un instantané certes peut-être était elle mal lunée comme on dit. Les artistes devraient garder leur mystère. Ces presque petites filles frêles qui avaient osé monter sur la scène durant le concert et balancées très violemment sur le sol par des malabars ça casse une image...

Restons-en à cette ado qui essayait de chanter l'adaptation du "Loco-motion" de Little Eva au début des années soixante, cela reste un fond sonore de nos souvenirs...

La chanson "On a toutes besoin d'un homme" (7, 8, 9) me paraît être, dans le sens qu'on donnait aux paroles à l'époque un modèle de confomisme, bonjour la libération de la femme... De nos jours on donnerait un sens au "besoin d'un homme" davantage "physique" . A l'époque il s'agissait plutôt d'accepter le rôle de "bonniche domestique" présenté comme prix à payer pour une présence masculine... (Certaines vous diront que cela n'a pas vraiment changé partout)...

Le dernier disque présenté (13, 14, 15) revient curieusement sur ce besoin "d'homme" que maintenant on va "chasser"... Une image plus "offensive" et moins fleur bleue du personnage. Il s'agit cette fois-ci d'un single à deux chansons, avec toujours la mention "BIEM" sur l'étiquette, matérialisation technique de la fin des années "yé-yé".

Les liens ci-dessus (CD & LP) permettent d'améliorer le référencement de vinylmaniaque.com
Ils vous aident également pour avoir une idée concrète du rapport entre la cotation fournie sur vinylmaniaque.com et un certain nombre de propositions de vente.
(rappel : les cotations sur cette page (*) correspondent à un état neuf parfait ce qui, vous pouvez le constater impose logiquement pour des vinyles anciens l'utilisation systématique de la grille "état des vinyles" pour essayer de comparer ces prix de vente par rapport à la cotation fournie)