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16 33 tours + cotations :
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Disques classés par année
Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques) Mise en ligne 15/12/07 |
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Salut les copains ! Philips 840 521 BY (1961) 80 euros |
Voici Eddy Barclay 80201 (1963) 80 euros |
Adamo Voix de son maître FELP 259 (1964) 30 euros |
Éponyme Columbia FPX 250 (1965) 22 euros |
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Petula 65 Vogue LD 671-30 (1965) 30 euros |
Hervé Mercury 125.505 MCL (1965) 35 euros |
Éponyme Vogue LVLX 56-30 (01/1966) 40 euros |
Dans une heure Carrère 844 710 BY (1967) 45 euros |
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Charlowup Vogue CLD 719 (1967) 22 euros |
Éponyme Barclay 80 359 (1967) 17 euros |
Le disque d’or Philips 844.860 BY (1967 ?) 35 euros |
Éponyme Fontana 6444 012 (1967 ?) 20 euros |
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Chansons... Mode series CMDINT 9818 (1968) 30 euros |
L’orage Festival FLDX 469 (1969) 17 euros |
Sylvie à l’Olympia RCA 440 745 (1970) 45 euros |
Polnarevolution AZ STEC 136 (1974) 12 euros |
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| « Yé-yé/twist... » Ce courant musical ne m’intéresse qu’au niveau de la nostalgie
car il faut le reconnaître, la plupart de ces anciennes « idoles
» l’admettent elles-mêmes lorsqu’on les interviewe, cela ne volait
pas très haut musicalement parlant. Mais c’est précisément ce
côté « naïf » pour être gentil qui est pour moi émouvant. Adamo,
la Cinquetti, H. Vilard etc. n’ont vraiment rien à voir avec le
rock/twist mais il est communément admis de les intégrer aux yé-yés
simplement parce qu’ils passaient eux aussi à « Salut les copains
»... En fait ce qui comptait c’était ce phénomène d’identification
des ados que l’on découvrait à l’époque et qui perdure aujourd’hui
avec tel ou telle vedette. Notons tout de même la présence de
ceux que Christian Eudeline nomme « anti-yéyé » (voir page « Lectures
pour vinylmaniaques ») et qui restent intéressants à écouter.
Les cotations élevées de certains de ces disques illustrent que
finalement nous sommes assez nombreux à les rechercher... 2. — Eddy Mitchell... Je trouve ce premier disque d’Eddy en solo assez agréable à écouter et l’évocation du service militaire de Schmoll au verso de la pochette assez amusante... 3. — Anthony et par exemple son « À présent tu peux t’en aller » me rappelle la musique notamment d’ambiance des auto-tamponneuses au volant desquelles, tout « minots », nous essayons maladroitement d’entrer en contact avec des petites minettes guère plus délurées que nous... 5. — Petula Clark était déjà âgée pour être une idole des jeunes et pourtant elle avait un succès phénoménal, en témoignent les tonnes de 45 tours EP qu’elle a édités... 6. — Hervé Vilard, Adamo... c’étaient « des chanteurs pour filles » car ils évoquaient des thèmes « romantiques » bien loin de nos aspiration rock-and-rolliennes... 7. — Je me répète mais l’arrivée d’Antoine fut un coup de tonnerre dans l’univers yé-yé et annonçait le renouveau musical (et politique) de la fin des sixties, derrière déjà arrivaient Polnareff, Dutronc.... 16. — Polnareff... Je termine cette galerie par un disque édité dans les seventies mais qui me paraît une bonne conclusion pour cette page. La reprise en live avec des orchestrations originales par Polnareff de ses succès sixties était une sorte de première par rapport aux compils classiques. Toutes les vedettes yé-yé finalement relativement nombreuses qui soit firent carrière ou au pire réapparurent épisodiquement ont suivi la même démarche. Leur public exige ces vieilles chansons à chaque concert... |
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