. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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Parmi mes pochettes de disques préférées extraites de ma collection :

16 disques 45 tours + cotations :
«
BO films/BO séries TV »

J'ai choisi ces pochettes en fonction de critères "affectifs".

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

Ordre chronologique,

Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques)

Mise en ligne 01/08/09

Bande sonores... un moyen de se remémorer le vieux film qui nous a plu ou la série télé sortie de nos souvenirs. Ces disques ne sont généralement pas trop collectionnés et donc ont des cotations abordables (mais comme toujours pour les vinyles, il y a de prestigieuses exceptions). Sur cette galerie sont présentés 8 bandes sonores de films et 8 bandes sonores d’émissions/séries télé.

1.Orfeu Negro
Manha de carnaval
Bel Air 211002 ME
EP (1959) 10 euros
2.Les canons de Navarone
Yassu
Barclay 72 482
EP (1961) 8 euros
3.L'eau vive
L'eau vive
Philips 432.261 BE
EP (1961) 5 euros
4.Toi le venin
Blues à la nuit
Fontana 460.586 ME
(EP 1961) 7 euros
5.L'eau vive
L'eau vive
Philips 432.261 BE
EP (1961) 5 euros
6. Le jour le plus long
March blues
Panorama MH 110
EP (1961) 5 euros

7.Le twist est roi
Peppermint twist
Roulette REP 1115
EP (1962) 20 euros

8. Doctor No
The J. Bond theme (ph verso)
United Artists 36035 A
EP (1963) 15 euros
1.Le petit train rébus
Endlessly
Odéon SOE 3643
EP (1960) 20 euros
2.Thierry la Fronde
Générique
Philips 432 978 BE
EP (1961) 12 euros

3.Les indiens
Le soleil couchant
RCA Victor 86.066 M
EP (1964) 25 euros

4.Les indiens
Générique
Philips 434.935 BE
EP (1964) 25 euros
5.Les chevaliers du ciel
Les chevaliers du ciel
Philips B 370450 F
SP (1967) 25 euros
6.Arsène Lupin
L'Arsène
Vogue V 45 1780
SP (1970) 6 euros
7. Les jours heureux
Happy days
Reprise 14 435
SP (1976) 4 euros

8.Dallas
Dallas
Saban 2097 885
SP (1981) 5 euros

Bandes sonores de films

1. — Marpessa Dawn signe la bande son d’un film culte de la fin des années cinquante : «Orfeu Negro».

2. — «Les canons de Navarone» (musique de Dimitri Tomkin) est un des nombreux films «de guerre» des années soixante. Ce genre plaisait au public, la proximité de la Deuxième Guerre Mondiale devait jouer un rôle pour cet intérêt.

3-5. — «L’eau vive», la musique est restée autant sinon plus célèbre que le film, elle permit à Guy Béart d’accéder à la célébrité. Ce thème à succès sortit sous plusieurs pochettes au fil des rééditions.

4. — «Toi le Venin», film policier assez réussi qui rassemble Robert Hossein et Frédéric Dard (scénariste) et père du commissaire San Antonio.

6. — J’avais dix ans lors de la sortie du «Jour le plus long», encore un film de guerre, hommage sans nuance aux soldats américains tourné avec des moyens gigantesques car on n’avait pas tous les effets spéciaux actuels pour simuler des armées en mouvement. Ainsi des régiments entiers de l’armée française ont participé à certaines prises de vues sur les plages de Normandie. En tant que petit enfant qui ne rêvait que plaies et bosses j’avais adoré ce film qui présentait la guerre comme un western, on était loin du «Soldat Harry», l’horreur du sujet était à peine effleurée, il restait l’action et les scènes épiques, propres à faire rêver un petit gosse.

8. — James Bond... encore un héros de mon enfance, invincible, séduisant, élégant, avec en plus, ce qui fit à mon avis le succès du personnage, une pointe d’humour british, sans oublier les «effets spéciaux» qui font sourire de nos jours mais qui à l’époque suscitaient l’admiration des nombreux spectateurs.

Bandes sonores de séries et émissions de télévision

1. — «Endlessly» (ou «Interlude») : il s’agit de la musique qui accompagnait interminablement un petit train dont les wagons portaient les éléments d’un rébus et qui roulait interminablement, dans un paysage de France différent à chaque fois, lorsque, et c’était fréquent, il y avait une panne ou un « trou » entre deux émissions au point qu’il devint le véritable générique de la RTF de l’époque tant on l’entendait souvent… souvent excédés car on attendait la suite de « Belphégor » avec impatience !

2. — Le dimanche soir LA chaîne diffusait en fin d’après-midi un épisode complet de «Thierry La Fronde». Toute la famille se réunissait alors pour suivre les aventures moyenâgeuses de cette sorte de Robin des Bois français.

3-4. — A grand renfort de publicité on annonça la création d’une grande série française pour la réalisation de laquelle de très gros moyens financiers furent utilisés. L’originalité était qu’il s’agissait d’un western et qu’il serait tourné en Camargue (!) Le pari était risqué et la série fut hélas un «flop» sans doute à cause du scénario sans grande originalité. Moi pourtant j’aimais bien, les détails techniques (armement etc) étaient assez réalistes et surtout il y avait les héros «Indiens» Mato et surtout Wanee, la petite indienne, qui me plaisait beaucoup, d’autant que de nombreuses scènes la montraient en très petite tenue pour les critères moraux stricts de l’époque.

5. — «Les chevaliers du ciel» c’était d’abord pour moi la bande dessinée de l’hebdomadaire pou enfants «Pilote» que je lisais assidûment. L’annonce de la création d’une version télévisée fut pour moi une bonne nouvelle, le prétexte était idéal pour faire la promotion de l’armée de l’air, dont les coûteux mais redoutables «Mirage» ponctionnaient lourdement le budget du pays... Le fait que Johnny chante la bande annonce n’avait aucun intérêt pour moi mais des décennies plus tard généra l’existence d’un vinyle collector. La première version de cette BO était un EP sur lequel Johnny n’apparaissait pas. Elle fut remplacée par le SP présenté ici sur lequel notre Johnny National apparaît et qui fut diffusé en grande quantité. Le super 45 tours originel lui, peu diffusé est aujourd’hui très recherché et donc a une cotation très élevée.

6. — Cet «Arsène» chanté par Dutronc, qui à l’air de se f.... de lui est assez curieux. La BO permet encore de se remémorer ce feuilleton un peu dans l’oubli.

7. — Ce feuilleton «Happy days» inaugure la longue série de productions nostalgiques des années soixante. Il reste dans les souvenirs de beaucoup, notamment par la musique du générique et ce gentil loubard US nommé «Fonzy»...

8. — Dallas ou... le déclin de l’empire américain : ce feuilleton d’un «genre nouveau» inaugure de nombreuses productions identiques nommées «soap opéras». Le «rêve américain» oui, mais aussi on évoque ses nombreux travers. Cette série eut un succès incroyable, elle fut un événement médiatique que l’on peut comparer à la première télé réalité «Loft story» : du succès grâce à la nouveau et un inexorable déclin...

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