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Parmi mes pochettes de disques préférées extraites de ma collection :

16 45 tours + cotations :
« Spécial Richard Anthony / Frank Alamo »

J'ai choisi ces pochettes en fonction de critères "affectifs".

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

Disques classés par année.

Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques)

Sauf mentions contraires les disques sont des pressages français.

Mise en ligne 15/01/09

Richard Anthony
« La leçon de twist »
Columbia ESRF 1349
1962 – 8 euros*
Richard Anthony
« Le loco-motion »
Columbia ESRF 1380
1963 - 7 euros*
Richard Anthony
« A présent tu peux t’en aller »
Columbia ESRF 1498
1964 - 7 euros*
Richard Anthony
« Ce monde »
Columbia ESRF 1539
1964 - 6 euros*
Richard Anthony
« La corde au cou »
Columbia ESRF 1586
1964 - 6 euros*
Richard Anthony
« Sunny »
Columbia ESRF 1785
1966 - 6 euros*
Richard Anthony
« Fille sauvage »
Columbia ESRF 1828
1967 - 6 euros*
Richard Anthony
« Le grand Meaulnes »
Columbia ESRF 1889
1967 - 6 euros*
Frank Alamo
« T’embrasser, t’embrasser »
Barclay 60.393 (SP Belgique)
1963 - 15 euros*
Frank Alamo
« Da doo ron ron »
Barclay 70 549
1963 - 7 euros* + ph. verso
Frank Alamo
« Reviens vite et oublie »
Barclay 70 579
1963 - 7 euros*
Frank Alamo
« Allo MAI 38-37 »
Barclay 70 660
1964 - 7 euros*
Frank Alamo
« Je me bats pour gagner »
Barclay 70 702
1964, - 7 euros*
Frank Alamo
« Sing c’est la vie »
Riviera 210.120
1965 - 7 euros*
Frank Alamo
« Des filles et des garçons »
Riviera 231 081
1965 - 8 euros*
Frank Alamo
« Bimbo »
Riviera 231 100
1965 - 7 euros*

Richard Anthony / Frank Alamo… Ils eurent leur gloire au milieu des années soixante, durant plusieurs années, même si leur audience était plus limitée qu’un Johnny ou Cloclo en ces temps-là leurs succès s’enchaînaient. Comme la plupart des chanteurs yé-yé ils ne prenaient aucun risque, les succès des hit-parades anglais et américains, adaptés en français étaient repris sans vergogne et bien des auditeurs croyaient qu’ils en étaient même les auteurs ! Leurs destins également avaient des points communs : une relativement longue (pour l’époque) période de célébrité et, inexorablement, avec la venue des nouveaux comme Polnareff, Dutronc, Antoine la tombée dans l’oubli… Les cotations basses de leurs super 45 tours démontrent qu’ils se vendirent en grande quantité et qu’il en reste des tas que l’on retrouve fréquemment lors des vide-greniers. Pour moi peu de plaisir à l’écoute sinon ce sentiment de nostalgie qui me fit acheter ces vinyles… Qu’on le veuille ou non, leurs voix c’est en partie le fond sonore des années sixties, bien plus que celles de ces anti-yéyé qui certes proposaient des disques de bien meilleure qualité mais tellement confidentiels… De « Salut les copains » l’après-midi sur les premiers transistors (crac… bzzzoui… la modulation de fréquence n’existant pas encore) à la sonorisation des manèges de fêtes foraines, juke-boxes, ils s’entendaient partout, rassuraient les parents par rapports aux rockers purs et durs. On entendait siffler le train, maintenant en les réécoutant on entend filer le temps…
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