. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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Parmi mes pochettes de disques préférées extraites de ma collection :

16 disques 33 tours 30 cm (LP) :
« Spécial pop-rock années 80 »

J'ai choisi ces pochettes en fonction de critères "affectifs".

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

 Ordre chronologique...

Lire en bas de la page les commentaires relatifs à certains de ces disques.

Par défaut, sauf mention contraire les disques sont de pressage français,

1. Pretenders
Éponyme
1980
2. Blue Öyster Cult
Cultösaurus erectus
1980
3. Rolling stones
Emotional rescue
1980
4. Roxy music
Flesh + Blood
1980
5. Queen
The game
1980
6. Mink de Ville
Coup de grâce
1981
7. ELO (Electric light orchestra)
Time
1981
8. Joe Cocker
Sheffield steel
1982
9. Nina Hagen
Angstlos
1983
10. Pink Floyd
The final cut
1983
11. Prince
Purple rain
1984
12. Eurythmics
Be yourself tonight
1985
13. The Fugs
Refused to be burnt-out
1985 (USA)
14. Klaus Nomi
In concert
1986
15. Fleetwood Mac
Big love
1987
16. Gogol et sa horde
La Suisse à genoux
1987 (2 LPs live)

Les années 1980 ou le crépuscule du vinyle... En effet, vers 1988 le microsillon commence à disparaître, remplacé par le CD... Comme je l'explique sur le site le courant pop évolue vers des directions qui ne m'enthousiasment guère, mais cela n'engage que moi... Toujours est-il que la production de cette période nous laisse des souvenirs auditifs et parfois tout de même de bons moments musicaux, sachant que ces vinyles sont pour certains faciles à trouver on aurait tort de s'en priver.
1. — Pretenders : j'aimais bien....

2. — Blue Öyster Cult : leur musique j'aime moyen mais j'adore certaines de leurs pochettes comme celle-ci.

3. — Les Stones continuaient à assurer... comme ils peuvaient...

4. — Roxy music : une sorte d'easy listening pop, fond sonore sirupeux des eighties. À noter les reprises de classiques des années soixante...

5. — Queen j'aimais bien, surtout au début.

6. — Mink de Ville : là on tombe sur du très bon.

7. — Electric light orchestra (ELO) : cette déclinaison des Move a su créer un univers sonore original.

8. — Joe Cocker revient au premier plan après une descente aux enfers presque habituelle pour les stars (non décédées) des années soixante.

9. — Nina Hagen : chanteuse fabuleuse que dire de plus ! Son anticonformisme était un atout de plus dans sa séduction.

10. — Pink floyd : ils réussissent à entrer dans le hit parade, mais peux eux aussi c'est le chant du cygne...

11. — Prince : je préfère à Michael Jackson, notamment ce "purple rain" devenu culte au final somptueux.

12. — Eurythmics : leur son pour moi matérialise cette période (déjà) lointaine.

13. — The Fugs : le groupe psychédélique mythique continuait à produire sa musique délirante et hors norme confidentiellement aux USA.

14. — Klaus Nomi : sa voix asexuée devient le cri des années Sida...

15. — Fleetwood Mac : là encore ce groupe aux multiples configurations et sources d'inspiration va bientôt disparaitre...

16. — Gogol et sa horde : on termine avec ce live délirant qui tranche avec le conformisme ambiant...
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