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| 1. "Renaissance" est un groupe qui mérite l'écoute, même en 2014. Durant les sixties il n'a intéressé qu'un nombre relativement réduit d'amateurs. Une destinée injuste vu la qualité de ces albums. 2. Ce "Hot butter" n'existera que par le succès mondial "Pop corn"... Le reste de l'album s'avère plus que décevant... Ce thème a été créé en 1969 par Gershon Kingley. Il fut ensuite repris dans une nouvelle version par un nouveau groupe formé par GK. De toute évidence il manquait quelque chose... Le groupe Hot butter va ajouter ce son "révolutionnaire" (pour l'époque). D'autres versions vont suivre, toutes plus kitsch les unes que les autres, voire chantées (!) Reste en terme de nostalgie un fond sonore musical incontournable, (même un peu trop easy listening), symbolisant cette époque. 4, 5, 9. Soft Machine et Chicago, au niveau son c'est tout de même deux concepts différents. Mais je les rassemble ici d'abord par leur créativité via des séries d'albums très réussis depuis les sixties. De même, la particularité de "chiffrer" les albums au lieu de leur donner un nom les rassemble. (Led Zeppelin fit de même pour leurs premiers albums...) S'agissait-il d'une volonté de présenter leurs musiques comme une sorte de suite musicale et dépersonnalisant chaque opus ? 6. The Hollies... Le souvenir de leurs albums sixties m'a fait acheter cet album... Hélas, comme beaucoup d'autres du même genre cruelle déception. Ce type de disques, surfant sur un nom prestigieux et contenant une musique sans âme est assez fréquent à cette époque. Il illustre ce reflux de créativité que j'évoque en début de page. 7, 8. Lennon, Nico, encore des musiques différentes. Mais deux destins dramatiques (assassinat et suicide) marquent, après bien d'autres, la fin d'une époque... "The End" adapté par Nico, résume bien la chose... 10. Brian Auger et Julie Tippetts (Driscoll) difficile de résister à une telle affiche. L'album se révèle certes intéressant mais donne l'impression de recherches musicales inabouties... Tout de même, quel duo d'enfer quelques années auparavant ! 11. Can reste un groupe ultra confidentiel durant les sixties et qui a eu un certain succès plus tard. De nos jours, nombre de vinylmaniaques cherchent leurs galettes avec opiniâtreté. Beaucoup ignoraient pourtant leur existence durant les sixties. 12. Phil Collins... Je termine à dessein début 80 avec cet album. J'espère ne pas heurter les fans de P. Collins, mais cela illustre mes propos tenus en début de page... |
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