Mise en ligne 15/03/2013

Ordre (à peu près) chronologique

NOSTALGIE SIXTIES N° 12

2. — Le Show légendaire d’Ike Turner aux USA est très bien matérialisé avec toutes ses composantes. Vu les films d’époque les Ikettes c’était quelque chose ! Les Claudettes, pâle récupération, par comparaison étaient de vraies nonnes...

3. — Les Beatles étaient déjà en vedette même aux USA. Les autres artistes resteront dans l’oubli alors que les quatre de Liverpool sont en train de prendre leur envol planétaire.

4. — De même les Stones, encore au milieu d’autres groupes mais déjà les stars... On notera pour ces deux dernières affiches un graphisme un peu «match de Boxe» !

5. — Affiche ultra connue et géniale par son impact malgré sa simplicité apparente. On la trouve normalement en reproduction glissée dans la pochette de «Live at Leeds». C’est vraiment l’affiche rock typique. La guitare de Townsend et la flèche du graphisme partent vers le ciel...

6. — Wes Wilson est le premier dessinateur qui «s’amusa» à déformer les lettres. Cette pratique symbolisait l’état produit par des substances pas très conventionnelles... D’autres créateurs suivirent et parfois les textes étaient quasiment illisibles, un vrai jeu de devinette...

7, 9, 10 — Brillants exercices de déformation de lettres...

8. — Il paraît que ce poster est inspiré d’une photo de Linda Eastman, future femme de Popol Mc Cartney. La musique de Jimi est pour moi formidablement évoquée...

11. — Un mélange de style BD et de rétro Country très réussi.

12. — Ce graphisme évoquant le fabuleux groupe se retrouve sur certains de leurs albums. Le côté pré-gothique va être allégrement utilisé plus tard, notamment pour le heavy metal...

13, 15. — Les effets de lettres arrivent à une maturité avec ces deux affiches cultes pour les amateurs du genre.

14. — Un graphisme original et représentant bien l’iguane Iggy.

16. — On ne peut que terminer ce petit tour avec cette affiche. Woodstock a marqué pour moi une sorte de sommet de la créativité sixties. Tous ces talents rassemblés et il y en avait plein d’autres me firent mesurer à l’époque la maturité et l’impact mondial du courant pop-rock. Je ne savais pas à l’époque qu’une stagnation puis un lent déclin allaient suivre les années suivantes. C’est du moins mon avis...