. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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Parmi mes pochettes de disques préférées extraites de ma collection :

16 super 45 tours (EP) n° 5
années cinquante/soixante (de "M" à "S")

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

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(de 1.5 à 3.5 méga-octets)

Mise en ligne 01/02/2012

Ordre alphabétique avec cotations

Les dates mentionnées sont celles de la première sortie des albums

Toutes les cotations mentionnées s'entendent état neuf
Inépuisable réserve des super 45 tours yé-yé... Les photos de pochettes, pour beaucoup, sont associées à des souvenirs autour d'un électrophone... Ils étaient précieux, et se prêtaient fréquemment. Naviguer de "surpat" en "surpat" souvent ça les abîmait gravement... Les noms écrits au stylo bille au verso de la pochette témoignent de ces prêts et surtout du délicat moment où on voulait récupérer son bien... Les cotations de ces vinyles démontrent que contrairement à ce que croient ceux qui en possèdent quelques uns, seuls certains justifient des valeurs élevées. Beaucoup d'entre eux furent édités à des quantités qui feraient rêver les producteurs de nos jours, même avec la démographie plus faible. Il est vrai qu'à part de rares magnétophones à l'époque, on devait "acheter pour écouter"...

1. Colette Magny
Melocoton
CBS CG145.001
(1963) 12 euros
2. Eddy Mitchell
De la musique
Barclay 70 962
(1966) 15 euros
3. Eddy Mitchell
Toujours un coin qui me rappelle
Barclay 70 687
(1964) 10 euros
4. Nicoletta
La musique
Riviera 231 277 M
(1967) 5 euros
5. Michel Orso
Angélique
Riviera 231 127
(1966) 8 euros
6. Les Parisiennes (+ C Bolling)
Il faut trop beau pour travailler
Philips 434-911 BE
(1964) 10 euros

7. Patricia
Quand on est malheureux
Columbia ESRF 1847
(1967) 20 euros
8. Les Pirates (+ T. Morgan)
C'est elle
Bel Air 211 109
(1963) 60 euros
9. Michel Polnareff
Le bal des Laze
DiscAZ EP 1 185
(1968) 10 euros

10. Albert Raisner
Letkiss
Président PRC 392/vol 4
(1964) 10 euros
11. Dick Rivers
Tu n'es plus là
Pathé EG 696
(1963) 15 euros
12. Romuald
Ma plus belle année
DiscAZ EP 943
(1963) 15 euros
13. Les Sunlights
Ne joue pas au soldat
DiscAZ EP 1102
(1967) 7 euros

14. Les Surfs
Shoop Shoop
Festival FX 1380 M
(1964) 10 euros
15. Les Surfs
Chaque nuit
Festival FX 1410 M
(1964) 15 euros

16. Les Surfs
A présent tu peux t'en aller
Festival FX 1478 M
(1964) 10 euros

1. — Colette Magny... Que fiche-t-elle là ? Son style musical n'est pas spécifiquement "yéyé" mais j'ai pris l'habitude d'associer a ce courant tout ce qui passait à Salut les Copains et, n'en déplaise à la légende, il n'y avait pas que du yé-yé à SLC ! En tout cas une fabuleuse chanteuse qui aurait dû avoir une notoriété bien plus importante et je ne suis pas le seul à le penser.

2-3.— Eddy Mitchell... "Msieu eddy" s'était un peu rangé en quittant son groupe. Il démarrait une grande carrière solo avec souvent de beaux textes. En cette moitié des sixties il était encore résolument rock même en solo !

4. — Nicoletta... "La musiiiiiiiiique" certes là encore la puissance vocale ne signifie pas forcément qualité d'interprétation... Mais cette chanson fut tellement matraquée que je l'associe à cet ultime "avant mai 68" dans mes souvenirs.

6. — Les Parisiennes... J'aimais bien... Oui je sais, c'est du vrai yéyé, même avec Bolling. Mais ce côté gai et insouciant reflétait bien mon état d'esprit de l'époque que j'aimerais bien retrouver ! Donc j'assume, je viens d'acquérir un LP avec leurs succès et j'aime bien écouter... quand je suis seul de peur de me faire "chambrer".

7. — Patricia... Une des nombreuses "chanteuses pour filles" qui susurrait des choses un peu mièvres mais romantiques que nos copines aimaient bien écouter...

9. —Michel Polnareff... La grande époque pour ce chanteur "Le bal des Laze" marque son apogée en terme de créativité et de popularité.

10. —Albert Raisner... Pas évident à écouter de nos jours mais cet harmoniciste qui sut prendre en marche le train yé-yé en présentant l'émission "Age tendre et tête de Bois" reste pour moi le symbole d'une époque.

13. —Les Sunlights... Après le succès de l'adaptation très consensuelle du "Déserteur" de Boris Vian, ils essayèrent de rééditer le coup mais les chansons genre "Le Galérien" "Ne joue pas au soldat" n'avaient pas l'impact de l'hymne antimilitariste de Vian... Ils disparurent dans l'oubli. N'oublions pas qu'à leurs débuts ils étaient un orchestre yéyé-twist qui balançait pas mal. Comme beaucoup pour vendre ils ont essayé de mettre de l'eau dans leur vin mais, pour eux, cela n'a pas marché malgré tout.

14-16. —Les Surfs... Finalement ils chantaient pas mal. Leurs vinyles restent écoutables et ils exprimaient une certaine joie de vivre. J'ai eu l'occasion de les voir dans une rue de Royan, durant les années soixante. Ils étaient tellement petits qu'ils arrivaient à s'entasser dans une Triumph TR3 à cinq !
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