. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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Nostalgie sixties n° 17

Vieilles choses métalliques...

Mis en ligne le 03-01-2019

1. Voiture US
non identifiée années 70...

2. Camion Galion Renault
fabrication française...années 60, CIJ, Compagnie industrielle du jouet
3. Circuit avec deux micro trains à clé
années 60

Pour bien commencer l'année 2019, ou rester dans l'ambiance festive de 2018... tout de même les yeux un peu piquants du côté du centre de Paris début décembre... Je vous propose d'évoquer de nouveau un sujet de collection vintage, les jouets anciens. Ces trois jouets en métal ont été "trouvés" au salon du disque de collection "Burdijouets" à Mérignac en Gironde.

Ils ont pu être négociés à relativement bas prix. C'est déjà un petit exploit vu le coût élevé de ce genre de choses... Leur particularité est que je n'ai pu déterminer les marques pour aucun d'eux. Si certains d'entre vous ont des infos à ce sujet...

Jouet numéro 1. Cette voiture "américaine" avec les baguettes et la calandre oxydées par le temps, on pense qu'elle est datée des années soixante-dix. Peut-être un de ces premiers jouets importés du Japon ou de Chine... Les mentions sous le châssis sont illisibles...

Jouet numéro 2. Le très connu Galion Renault m'a fait craquer. Seule une mention "Made in France" gravée sur le mécanisme de friction dessous la carrosserie. Thomas, un ami du site m'a finalement indiqué la marque, non gravée sur le jouet : il s'agit d'un CIJ (Compagnie industrielle du jouet).

Jouet numéro 3. Une sorte de petit automate à clé dont je raffole. Deux minuscules petits trains tournent en rond.

Vieilles choses métalliques... (suite)

01/01/2018

1. "A la manière d'une Delahaye"
JEP (jouet de Paris, 1950)
2. "A la manière d'une Delahaye"
JEP (jouet de Paris, 1950)
3. Frégate Renault
CIJ (Compagnie internationale du jouet, 1952)

4. Frégate Renault
CIJ (Compagnie internationale du jouet, 1952)

En ce début d'année 2018, dans la foulée des fêtes de Noël, je ne peux qu'évoquer de nouveau les "jouets pour vieux", ou plus prosaïquement les "jouets de collection". Mon champ d'activité dans ce vaste domaine est toujours les jouets métalliques. (Voir la rubrique "nostalgie sixties" pour les nouveaux visiteurs du site). Je vous présente donc deux jouets qui m'ont fait craquer. Hélas ce genre d'objet est de plus en plus cher à l'achat...

La première voiture "JEP" (photos 1 et 2) est "dans son jus", avec sa peinture d'origine, le summum pour un collectionneur. Elle fonctionne avec un ressort (à clé). Son aspect désuet m'a attiré irrésistiblement. Les versions suivantes de ce jouet avaient les phares qui s'allument (!) ainsi que deux portes ouvrantes... Paradoxalement bien que plus sophistiquées elles ont une cotation plus basse car plus récentes (cette "logique" de l'ancienneté qui prime parfois l'esthétique s'applique pour les cotations de vinyles). Je mentionne "à la manière d'une Delahaye" car, c'est un élément de charme supplémentaire, les fabricants, pour se simplifier la vie, "adaptaient" parfois leurs modèles par rapport aux véhicules originaux qu'ils copiaient.

Le second jouet est un peu plus récent. La manufacture CIJ était localisée, comme JEP, à Paris. En ces temps lointains les jouets étaient fabriqués "à la main" et en France... et en plus avec des matériaux nobles, le plastique n'allait pas tarder à arriver progressivement... Donc comme pour l'auto précédente la première version n'avait ni porte ouvrante, ni phares électriques... il s'agit donc de la deuxième mouture. Pour l'anecdote, la Frégate fut un des plus grands échecs commerciaux de Renault. Le PDG Renault de l'époque s'est tué en en pilotant une, c'est tout dire.

Comme pour les Dinky Toys, on peut trouver des "pièces détachées" neuves pour ces jouets. Vous avez peut-être remarqué sur la photo 4, l'absence de couvercle de phares. Les ampoules d'éclairage apparaissent sans couvercle transparent. Et bien ces petites pièces sont proposées "en neuf"  sur internet, j'envisage d'ailleurs de les acheter, mais c'est pas donné... On peut ainsi trouver des portières, calandres, roues, d'une façon générale tout ce qui peut "tomber" de ces jouets.

La photographie, témoignage irremplaçable des années soixante : Roger Kasparian 01/02/2018

Les photographies des années sixties, en ce qui concerne les yé-yé, le courant pop-rock, pour beaucoup c'est Jean-Marie Périer.
Le mythique photographe de "Salut les copains" donnait, de son propre aveu, une vision scénarisée et très étudiée des vedettes des années soixante.
Un autre photographe, Roger Kasparian, tombé dans l'oubli à la fin des années soixante a été redécouvert il y a quelques années. (Taper "Roger Kasparian" sur Google). Personnage assez effacé, il jouait de sa discrétion pour s'immiscer près de nombreuses vedettes de l'époque. Contrairement aux autres photographes il réalisait des photos "brutes", du reportage en fait. Cela change tout au niveau historique. Maintenant, sorti de l'oubli, il est honoré avec raison de partout, expose ses photos...
Récemment on a pu voir sur la chaîne de TV "La Cinq" l'excellent documentaire "Roger Kasparian, l'oeil des 60's". Cela m'a motivé pour évoquer cet artiste. Je possédais déjà le livre de Philippe Manœuvre (ce dernier est également le réalisateur du doc de la Cinq) "Archives inédites d'un photographe des sixties" (Gründ). Je me permet donc, à titre d'hommage, d'évoquer brièvement ce photographe à l'aide de quelques copies d'écran. Pour l'anecdote, la photo de Serge Gainsbourg habituellement sur la page d'accueil (hormis celles placées en hommage pour des vedettes disparues) de Vinylmaniaque.com est de Roger Kasparian.
J'ai eu des difficultés pour sélectionner quelques photos les plus emblématiques possible vu la richesse de son oeuvre.
Pour la plupart des grandes vedettes photographiées c'était bien avant leur montée en puissance. Peu de personnes connaissaient leur visage. Ce photographe explique lui même comme il est étrange de voir les Stones photographiés au milieu des passants qui sont complètement indifférents... Il attendait la descente d'avion des Beatles avec seulement une cinquantaine de personnes... c'étant "avant" la Beatlemania. Idem pour les vedettes yé-yé.
Cette vision des sixties authentique est précieuse. A juste titre ses nombreuses photos sont considérées comme des trésors et s'exposent dans des galeries prestigieuses.
Certains clichés sont toutefois connus. Quelques pochettes de disques ont leur photo signée Roger Kasparian. Les autres photos étaient publiées sur des revues pour les jeunes mais d'une audience bien plus confidentielle que "Salut les copains". En fait il était "pigiste" et vendait donc ses photos où il pouvait...
Pour ceux, s'il y en a, qui n'ont pas identifiées les vedettes sur les photos : ph 1 Johnny Hallyday, ph 2 The Spotnicks, ph 3 Roger Daltrey (The Who), ph 4 The Rolling Stones, ph 5 Serge Gainsbourg
Nostalgie sixties : Tableaux et peintres "parallèles" 01/03/2018

La peinture dite "moderne" ou "abstraite" pour faire simple ne me laisse pas indifférent. Bien que non connaisseur j'aime bien certaines œuvres... Autour de la thématique du site j'ai abordé les graphistes de pochettes de vinyles, les dessinateurs de BD mais il y a aussi les tableaux et autres œuvres de l'art dit "sérieux". Certains peintres que je présente rapidement ici ont le "label" Pop'art, d'autres non (Picasso, Magritte, Dali). Tous les tableaux ci-contre sont en quelque sorte "parallèles" à certains courants musicaux "pop", avec le psychédélisme des années soixante, les expériences "Jazz-rock" si proches de la musique contemporaine. Comme pour certaines musiques, l'art moderne "il faut entrer dedans". Je sais que certains n'aiment pas. Mais je trouve que si on aime certains univers musicaux comme nous le faisons, certaines formes d'art amènent un ressenti comparable.

Photos 1, 2 : Pablo Picasso "Fille devant un miroir" (1932) "La femme qui pleure" (1937). Ces tableaux, choisis parmi l'immensité de son œuvre me semblent coller avec les années soixante, indépendamment de leur date de réalisation.

Photos 3, "Les montres molles" (1932) et  4. Deux toiles de Salvador Dali elles aussi m'interpellent parmi tant d'autres.

Elles me rappellent certaines pochettes de vinyles. En plus ce personnage provocateur n'a-t-il pas un petit côté "rock" ?

Photos 5, 6 : On retrouve certains tableaux de René Magritte sur des pochettes de vinyles comme le "Beck-Ola" de Jeff Beck.

Photo 7 : Roy Lichtenstein lui est catalogué "pop'art" on s'en doute. On pourrait penser à de la BD mais il s'agit bien de tableaux. Le fond des visages "tramés" est en quelque sorte sa marque de fabrique.

Photos 8 et 9 : Bien entendu, même si d'innombrables artistes pourraient également être évoqués, il est obligatoire de mentionner Andy Warhol. Son style d'une certaine façon sa vie, ses multiples "expériences", symbolisent les années soixante.

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