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. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

Histoires de disques n° 29 : Récapitulations...

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image. Légendes détaillées pour certaines photos en bas de la page
Mis en ligne le 04_05_2015

1970 : "Amour Anarchie" (Léo Ferré)

01/04/2015


1. Barclay XBLY 80.417 (1970)	2. Volume 2 - Barclay XBLY 80.423 (1970)	3. Vol. 1, Vol. 2 - Barclay 80.417/80.4232 disques (1970)


4. Barclay XBLY 80.417 (1970) verso de la pochette		5. Volume 2 - Barclay XBLY 80.423 (1970) verso de la pochette		6. Vol. 1, Vol. 2 - Barclay 80.417/80.4232 disques (1970) verso de la pochette

Dans la rubrique "Histoires de disques" ce mois-ci je vais évoquer une trilogie. Le grand Léo Ferré en l'an 1970 produisit 18 chansons sous le nom "Amour Anarchie - Ferré 70". D'abord en deux parties (volume 1 en mai et volume 2 en novembre). Ensuite en décembre les deux disques sont enfin rassemblés dans un double album. Toutes les étiquettes des disques présentés dans leur pressage original portent la mention "BIEM". Curieusement la galette du volume 2 est bien plus légère et donc flexible que le volume 1 et le double album. Ce même deuxième volume n'est gratifié que d'une pochette glacée simple alors que les autres pochettes sont ouvrantes. Le premier disque plus luxueux ne comporte pas la mention "volume 1". Cela peut signifier que Léo n'envisageait que ces premières chansons sous le nom "Amour Anarchie". Pensait-il garder les autres chansons du volume 2 "sous le coude " pour des albums futurs voire ne pas les publier ?. Seuls des experts sur la discographie de Léo pourront peut-être nous éclairer à ce sujet. A signaler également l'exceptionnelle qualité sonore du double album de décembre.
L'anarchisme revendiqué par Léo Ferré à l'époque était sujet à maintes controverses. Cette idéologie est en effet difficile à appliquer surtout si on accumule de l'argent via entre autres le très capitalistique label "Barclay"... Mais vu la tendance consensuelle à mon avis des artistes actuels il est bon d'évoquer cet incorrigible trublion. Il illustrait une époque bien différente de celle que nous vivons, au moins au niveau des courants de pensée "en vogue". Les grands artistes sont le reflet de leurs époques, une raison de plus pour les écouter nous raconter les années passées et pouvoir comparer avec les présentes.

Volume 1 mai 70 face 1 : Le chien, Petite, Poètes vos papiers, La lettre. Face 2 : La the nana, La mémoire et la mer, Rotterdam, Paris je ne t'aime plus, Le crachat.

Volume 2 novembre 70 face 1 : Psaume 151, L'amour fou, La folie. Face 2 : Ecoute-moi, Cette blessure, Le mal, Paris c'est une idée, Les passantes, Sur la scène.

Sur le double album on trouve donc les mêmes chansons positionnées exactement sur les quatre faces comme sur les premiers disques.

De René Magritte... aux Beatles

01/09/16

Tous les mois je vous présente quatre scans autour d'une thématique.
À noter, pour les visiteurs "historiques" du site en 2003 et 2004 qu'ils retrouveront certaines photos déjà publiées mais qu'il m'a paru intéressant de conserver en permanence sur le site :
cette rubrique sera en effet récapitulée sur une série de pages du sites au fur et à mesure des publications (comme la rubrique précédente « Mes premiers SP »).
01/11/09


1. René Magritte utislisait souvent le thème de "la pomme verte"...	2. Ce tableau de Magritte, "La chambre d'écoute" est utilisé sur l'album "Beck Ola"	3. Ce tableau, propriété de sir Mc Cartney a inspiré le logo "Apple" des Beatles


4. Mac Cartney près de son tableau		5. Le logo "Apple" des Beatles que l'on connaît sur leurs derniers vinyles		6. Le logo d'Apple computer

Le label Apple des Beatles, tous les vinylmaniaques connaissent... Il est issu de l'intérêt de popol Mac Cartney pour le grand peintre surréaliste belge René Magritte (que modestement je partage également...) Les pommes (vertes) reviennent très fréquemment dans l'oeuvre de ce peintre. (photo 1) "La Chambre d'écoute" (ph no 2) fut notamment utilisée sur l'album de Jeff Beck "Beck Ola" de 1969 déjà présenté sur le site Difficile de faire la part entre la légende et le réel dans cette "histoire de disques" très controversée. Ce qui est certain c'est que Mac Cartney possédait un tableau de Magritte (photo 3) chez lui (photo 4). Il déclare que ce tableau notamment l'a inspiré pour la création du logo de la compagnie "Apple corps" que nous connaissons tous sur les étiquette des vinyles "bitlésiens"(photo 5). Un autre aspect en lien avec cette histoire est la création d'Apple computer inc (photo 6) et la ressemblance avec ce nouveau logo "Apple" utilisant une pomme et celui de la compagnie des Beatles. Une bataille juridique oppposa à ce sujet les deux compagnies de 1978 à... 2007 ! Un accord a été finalement trouvé, Apple computer est le propriétaire de ce ce label définitivement... On ne saura jamais sans doute si la création du logo "Apple computer" a été indépendante au niveau inspiration ce celui des Beatles... Mais elle me permet également d'évoquer René Magritte dont je vous conseille si vous ne connaissez pas, de voir les oeuvres....

Disques "Barclay"
pas toujours "bâclés"...

01/01/16


1.Logo "début des années cinquante"	2.Logo "fin des années cinquante	3. Logo des années 60-70	4. Logo "fin du millénaire"

Eddie Barclay, il fallait l'évoquer sur Vinylmaniaque.com... Ce personnage est majeur au niveau historique pour le vinyle. Comme d'habitude je vous laisse taper "Eddie Barclay" sur votre moteur de recherche pour avoir sa bio détaillée. Je ne cherche qu'à évoquer le personnage dans l'optique qui guide mon site. Donc un jazzman de l'après-guerre assez connu. Ses vinyles personnels, assez faciles à trouver sur les vide-greniers en attestent. Au tout début, dans les années "40" il se lance dans "l'édition musicale" et produit des 78 tours. Il découvre ensuite la nouvelle technologie du vinyle. C'est lui qui va produire les premiers vinyles en France. Il va être "le roi du microsillon" jusqu'à la fin des années 80... C'était lui le "prems" cela mérite d'être évoqué. Son label et le logo afférent sur "ses" disques "Barclay" vont évoluer graphiquement au fil du temps. Ils peuvent vous aider à dater approximativement vos disques, pour les "débutants"... Le premier logo présenté (photo 1 désolé pour la mauvaise qualité) matérialise la première moitié des années cinquante. L'ovale disparaît pour la deuxième moitié des fifties comme celui présenté sur l'image "2". La troisième version présentée (ph n° 3) est la plus connue par le vinylmaniaque. Elle matérialise la grande époque "Barclay". Elle représente les années soixante et soixante-dix. La photo n° 4 c'est 1980-1990... Le dernier logo ci-contre je l'ai trouvé sur les vinyles les plus récents du label que je possède (photo à la fin de ce texte. Il a peut être évolué encore mais j'en reste avec les époques de référence du site ! Personnage médiatique, mondain, controversé il reste à travers son bizness dans la mémoire des baby-boomers, matérialisé par ce logo "Barclay" que l'on a constamment sous les yeux.

Incursions "Youtubesques"

04/03/2017

Bon, je vais faire de la pub... Obligé, mais je pense que beaucoup pour ne pas dire tous connaissent
https://www.youtube.com

Certes il y a une sorte de monopole pour ce site avec tout ce que cela induit en terme d'abus, fiscaux et autres... Mais quel régal. On tape un nom de disque, et hop souvent l'album entier peut être écouté ou au moins des extraits. En plus en cherchant par vedette on tombe sur des collectors, enregistrement ultra rares etc. Une seule contrainte c'est la qualité sonore. Même en tant équipé d'une carte son externe et d'enceintes "monitoring" il me faut sélectionner et éliminer les enregistrements approximatifs. Ainsi on peut auditionner des vinyles qu'on projette de se procurer, même ultra-rares. Pratique pour établir sa "wanted list". Je n'évoquerai pas certaines manips illégales qui permettent de récupérer les fichiers son. C'est je crois interdit donc il ne faut pas le faire... Et puis finalement, le streaming cela permet de ne pas encombrer son disque dur. On peut y revenir quand on veut.

Donc je me permet de vous présenter une sélection de quatre albums avec les liens correspondants qui m'ont bien plu. Mais bien entendu à chacun ses goûts ! Du coup tous ces albums ont été placés sur ma liste de recherche pour la prochaine convention de disques...

1. Blue Cheer / Vincebus Eruptum. C'est du lourd, réservé aux spécialistes.... Mais pour moi c'est un très bon album je n'avais que le single "Summertime Blues", chose rare tout l'album est de la même veine
https://www.youtube.com/watch?v=FafdwvD6qw0

2. Arthur Conley / Full directions. Je préfère ce second album de 1968. Chanteur rnb moins connu en France qu'Otis, Wilson, James... Mais d'une grande qualité. Cela explique je suppose les prix élevés de ses disques sur les conventions...
https://www.youtube.com/watch?v=inld_oGmE2M

3. Luther Allison - Bad news is coming. Du bon blues ça ne fait jamais de mal. Encore un truc pas trop répandu sympa à écouter, du moins pour moi. D'ailleurs je baisse mon curseur "Terratec" deux fois 70 watts à cinquante cms il faut être prudent, les acouphènes nous guettent !
https://www.youtube.com/watch?v=fN2iB_99-hs&t=320s

4. Crazy Elephant album eponyme. Là c'est en pièces détachées. A savoir qu'il faut écouter morceau par morceau. On se repère avec le graphisme de la pochette sur le déroulé. J'aime bien ce groupe, connu en France dans les sixties avec son "Sunshine red wine" qui tournait dans les boîtes. J'ai également découvert une qualité soutenue sur tous les morceaux. Un son original et qui reste agréable à écouter. Et des enregistrement "youtubés" de bonne qualité.
https://www.youtube.com/watch?v=2kn2QJZ0kRo&list=PLCD9A7E1F58238819

Allez un dernier pour la route :

Steppenwolf - The Second (1968) très bon, leurs autres albums il faut trier...
https://www.youtube.com/watch?v=cBxjv4K2DOE&t=2074s

En conclusion malgré ces cyber incursions sonores rien ne vaut une bonne galette sur la platine posée à côté de son ordi en cas d'urgence. Mais il faut vivre dans son époque, de temps en temps...

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