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Parmi mes pochettes de disques préférées extraites de ma collection :

16 disques + cotations :
Groupes musicaux « yé-yé et twist »

J'ai choisi ces pochettes en fonction de critères "affectifs".

Cliquer sur chaque photo pour agrandir l'image.

Disques classés par anne.

Référence et cotation (attention les cotations s'entendent état neuf, voir le barème dégressif des cotations en fonction de l'état des disques)

Sauf mentions contraires les disques sont des pressages français.

Mise en ligne 2007

1. Les Punchers
(Rocky Graziano)
Viens danser le twist
(1961) Saphir LDP 5048
12 euros
2. Les pénitents
(Dany Boy)
Avec un dollar
(1962) Ricordi 45 S 198
35 euros
3. Les chats sauvages
Twist à Saint-Tropez
(Dick Rivers)
(1962) Pathé EA 569
(Pres. suédois) 40 euros
4. Les chaussettes noires
(Eddy Mitchell)
La leçon de twist
(1962) Barclay 70 427
20 euros
5. Les pirates
(Dany Logan)
Laissez-nous twister
(1962) Bel air 211 068
25 euros
6. Les Vautours
Le jour de l’amour
(1962)
Festival FX 45 1281 M
50 euros
7. Les Pingouins
Cherche
(1962)
Decca 451 01
45 euros
8. Les Gams
Il a le truc
(1963)
Mercury 152 002
12 euros
9. Les célibataires
Le five
(1963)
Barclay 70554
20 euros
10. Les Surfs
Le printemps sur la colline
(1965)
Fx 1432
12 euros
11. Les parisiennes
Les fans de Mozart
(1965)
Philips 437 141
25 euros
12. Les Problèmes
(Antoine)
Contre-élucubrations...
(1966) Vogue EPL 8445
12 euros
13. Les cinq gentlemen
Dis-nous Dylan
(1966)
Riviera n° 231.181
20 euros
14. Les Brummels
(Mike Shannon)
Mama
(1966) Vogue EPL 8465
15 euros
15. Les sunlights
Le déserteur
(1966)
DiscAZ EP 1034
7 euros
16. Les Charlots
Hey Max
(1967)
Vogue EPL 8577
5 euros

Ces groupes, en particulier les tout premiers, nous ramènent à l’aube du rock en France... Ils illustrent la perception qu’avaient les jeunes français du début des sixties du courant rock américain et évoquent pour moi tous ces groupes qui se créaient, chantaient souvent en « yaourt* » au fond des garages bien avant les Beatles... On disait que c’était « le temps des guitares » ou « le temps des copains ». Ils permettaient d’oublier la guerre d’Algérie, le patron pour ceux qui "bossaient", les parents pour les ados « en révolte »...

(*) Le « yaourt » c’était une langue imaginaire... en fait beaucoup de chanteurs yé-yé de base ignoraient l’anglais et donc lorsqu’ils interprétaient une chanson anglo-saxonne inventaient une sorte de jargon phonétique imitant (ou voulant imiter) la langue de Shakespeare. Ne souriez pas, récemment j’ai eu l’occasion, je dirais la chance, lors d’une soirée d’écouter un « ancien blouson noir » démasqué par ses amis obligé d’interpréter un morceau qu’il jouait dans sa jeunesse. Sans hésiter malgré le temps passé le rock américain a retrouvé ses paroles yaourt des années soixante, gardées intactes au fond de la mémoire du vieux rocky... Un peu comme le « Kobaien » de Magma ce langage, selon moi est finalement une expression artistique originale, chaque morceau est ainsi personnalisé par son interprète et si peu que celui-ci soit doué devient une adaptation plus qu’originale au niveau vocal.
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