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Parmi les disques de ma collection :

1960/1964...5 LPs Pop-Rock sixties
originaux et rééditions

1er mai 2023

(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques.

Sauf mention contraire pressage français.

Disques présentés en ordre chronologique exceptés ceux du même artiste qui sont regroupés.

Les albums présentés avec deux dates de sortie accolées sont on s’en doute des rééditions. L’année la plus ancienne = la sortie du précieux original, cette qui est (beaucoup) plus récente l’année de sortie de la réédition.

Pop-rock sixties de nouveau… Comme souvent sur cette page il y a mélange des genres. Difficile de l’éviter ce style musical est très vaste. De la pop « gentille » on dit aussi « bubble gum » au rock trash des Stooges il y a du chemin effectivement. Il y a également des pressages originaux et aussi des rééditions récentes. Parfois comme pour le disque des Stooges le disque est teinté. Une pratique qui vise à essayer de personnaliser des pressages qui sont pour le moins éloignés des swinging sixties. Pour moi l’achat de ce type de disques matérialise une sorte de constat d’échec. Celui de n’être pas arrivé (il faut toujours ajouter « pour l’instant ») à dénicher un original à un prix acceptable et surtout en bon état d’écoute. Deux barrières difficiles à franchir mais il faut toujours ajouter « on ne sait jamais, un jour peut-être… »

The Stooges, homonyme, Elektra RCV1-74051, 1969-2016, estimation 15 euros* / Cet album est donc une réédition d’il y a sept ans… A l’époque lorsque « Motor city brûlait » aux sons sauvages du MC5 et des Stooges je n’avais pu me payer que le single « 1969 ». Un bon investissement cependant vu que sa cotation tourne autour de 70 euros en mint cinquante-quatre ans plus tard. Alors cet album lui aussi doit coûter une fortune dans sa précieuse version originale, signe de l’impact passé et présent des Stooges, encore plus percutant en 69.

Les Perruques, Hully-gully shake surf, MODE mdint 9 203, 196?, estimation 35 euros* / Peut-être que ce disque a une cotation plus élevée mais j’ai trouvé peu d’infos à son sujet pour l’instant. Sur la pochette les Perruques sont présentés « comme des champions du Mersey beat ». Mais après des recherches aucune trace d’eux parmi les groupes marquants du courant de Manchester et Liverpool… On peut imaginer un groupe « de circonstance ». On note toutefois que leurs deux 33 tours sont mentionnés dans les argus de « Juke box magazine » qui les considérait donc comme méritant de l’intérêt. Nous avons des reprises bien sûr des Beatles mais aussi de classiques du rock. Un son en tout cas « d’époque », bonne qualité d’interprétation, peut-être, comme c’était fréquent des pointures se sont glissées dans ce groupe.

Les Irresistibles, The story of Baxter Williams, CBS S 7 – 63458, 1969, estimation 40 euros* / Les Irresistibles c’est avant tout un hit « My year is a day » Il s’agit d’un groupe anglais… non américain, mais en fait composé d’étudiants américains vivant à Paris. Le clip de leur tube fut réalisé conjointement avec une pub relative aux roadsters anglais Triumph… Au-delà de l’intérêt artistique c’est l’ambiance d’une époque que font renaître les irresistibles en écoutant leur musique. « Les Irresistibles triumphent » (en Spitfire ou TR4) et durant un seul été et ensuite disparaissent… La cotation de cet albm, encore une fois matérialise l’intérêt des collectionneurs et/ou nostalgiques alliée à la disparition du groupe, du moins pour le public français.

Big brother and the holding company, featuring Janis Joplin, Columbia MOVLP463, 1967-2011, estimation 20 euros* / Le premier opus du Big brother and the holding company avec bien sûr la mega star Janis Joplin est dans ma ligne de mire depuis des années. J’ai dû me résigner à cet achat mais finalement le son est très bon. Disque intéressant car un style un peu différent de ce qu’on est habitué à entendre autour de Janis. Il met en valeur le reste du groupe, y compris au niveau vocal. On sait que c’est une grande injustice que leur fit subir « Pearl » en les laissant sur le pavé en plus pour aller des musiciens finalement moins performants (voir les chroniques sur la vie de Janis Joplin). Mais Janis, même accompagnée par... mettons les Sunlights (!) restera toujours Janis...

The Lemon pipers, Green tambourine, Buddah records 2349 006, 1968, pressage UK, estimation 30 euros* / Nous avons là un groupe pop psychedelique américain qui produisit un numéro 1 aux USA en 68. A cette occasion fut utilisée pour la première fois la mention « bubblegum pop » pour qualifier leur style. Nous sommes donc en 68, j’entendais ce truc à la radio, je le trouvais (et donc n’étais pas le seul) dans l’air du temps. Cinquante ans plus tard, nouvelle rencontre avec cette chanson. Il s’agissait cette fois-ci de leur album, proposé par un marchand à la hélas défunte convention du disque de Bordeaux. Le reste du disque est écoutable certes mais explique sans doute la courte destinée du groupe.