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Parmi les disques de ma collection :Lou Reed / cinq albums
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(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques. Pour accéder aux photos ci-dessous en très haute définition, |
Curieusement il semble qu’aucun de ces cinq albums de Lou Reed, pourtant depuis longtemps sur mes étagères, n’aient été évoqués sur le site. Difficile de ne pas doublonner avec ce temps passé et toutes ces pages réalisées… Je suppose que vous ne m’en voudrez pas si cela se produit. Bien entendu les albums du Velvet underground restent à part en terme d’importance dans l’échelle des valeurs pop-rock. Mais la carrière solo de Lou Reed comporte également plusieurs pépites et hélas des choses moins réussies.
Ces disques solo de Lou Reed sont simplement mes préférés parmi ceux de ma collection. J’en ai tout de même plusieurs autres « moins réussis » que je vous présenterai malgré tout dans le futur. Il manque un album de Lou Reed déjà évoqué sur le site que j’aime bien également. Il s’agit de « Songs for Drella » de 1990, fabuleux duo retrouvé avec John Cale.
CLIQUER ICI Il existe un film où on voit les deux artistes interpréter l’intégralité de cet album-hommage à Andy (Drella) Warhol. Il a été diffusé jadis à la télé et j’espère un jour récupérer la vidéo.
Seuls deux des disques présentés sont des pressages originaux. Comme toujours, pour les nouveaux visiteurs du site, je précise que la première année mentionnée est celle de sortie de l’album original, la seconde celle de la réédition présentée, donc si une seule date il s’agit d’un pressage original).
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Photos 1-2-3 / « Transformer », RCA NL 13806, 1972/1986, estimation 25 euros* / Pour ceux qui l’ignorent il s’agit du deuxième album solo de Lou Reed. Après ce qu’il est convenu de nommer une descente aux enfers il est aidé par David Bowie qui l’aide à sortir « du trou » et qui produit notamment cet album. Mike Ronson réalise également les arrangements. Plusieurs chansons inoubliables se suivent dans ce disque notamment, le cultissime « Walk on the wild side ». La chanson « Perfect day » est pour moi aussi réussie, voire davantage. C’est la période « glam rock » de l’artiste qui joue sur l’androgynie, l’équivoque… comme il se devait à l’époque pour de nombreux artistes pop-rock.
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Photos 4-5-6 / « Berlin », RCA 435500, 1973/1978, estimation 20 euros*/ Troisième album de l’artiste, un univers musical différent, planant un disque très novateur et unique dans son genre. Les paroles elles évoquent un univers sinistre, décadent qui contraste finalement avec le ton presque confidentiel du chanteur. Il n’eut pas un très gros succès commercial ce que j’estime immérité.
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Photos 7-8-9 / « Rock and roll animal », RCA APL 1-0472, 1974/1984, estimation 30 euros* /
Il fallait un live dans ce petit passage en revue de mes disques préférés de Lou Reed tirés de ma collection. Tout disque en public, on le sait, est lourdement trafiqué, tout est retravaillé en studio. Cela finit cependant par constituer une sorte de best of de l’artiste concerné avec en plus des versions différentes des originaux, généralement plus longues donc ces disques sont souvent intéressants. Il paraît que suite aux ventes décevantes de l’album précédent (« Berlin ») on aurait imposé cet album pour récupérer du numéraire… Certains regrettent que le son soit très éloigné de celui du Velvet, pour ma part j’aime bien…
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Photos 10-11-12 / « Coney Island Baby », RCA NL 83807, 1975/1984, estimation 18 euros* /
C’est son sixième album solo et j’aime bien l’écouter. D’abord il est un peu moins connu donc son contenu est moins familier. De plus l’ambiance créée est nettement plus « optimiste » que la production musicale habituelle de Lou Reed. J’apprécie donc ce disque jusqu’à avoir acheté cette réédition pour remplacer une version précédente un peu trop fatiguée.
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Photos 13-14-15 / « New York », UK WX 246 925 829-1, 1989, estimation 30 euros*/ Cet album matérialise le second retour vers la grande qualité de Lou Reed après « Transformer »… Plusieurs morceaux d’anthologie mais hélas, à mon avis il va être suivi avec une seule exception (« Songs for Drella ») par d’autres albums d’un niveau nettement inférieur. Tout est bon dans ce « New York » de Lou Reed, vraiment sympa à écouter. La graphisme de la pochette, hélas n’est pas à la hauteur du contenu.