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Parmi les disques de ma collection :

Pop-rock sixties : cinq albums "live" publiés en 70-80

15 mai 2021

(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques.

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Voici donc cinq vinyles pop-rock en public qui ont été édités durant les années 70-80. A l’époque de leur sortie ils avaient deux motivations commerciales. La première était de rappeler l’existence de grands groupes qui ont marqué la fin des sixties et le début des seventies aux nostalgiques, les faire découvrir aux plus jeunes. La seconde de présenter, via ces prestations en public, des versions différentes de leurs morceaux, souvent très connus.

Curieusement aucun de ces albums n’est double ce qui est pourtant quasiment la norme pour le « live » (voire parfois les triples albums). On sait que ce type de disque ne reflète que partiellement l’enregistrement original. Ils sont remixés, instrument par instrument, micro par micro, voire partiellement « rejoués », le bruit du public trafiqué, etc. Seuls les disques dits pirates/bootlegs restituent généralement le son brut et donc difficiles à écouter pour nos oreilles habituées au "son studio"…

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Photos 1, 2, 3 : Jefferson airplane « Bless its pointed little head » Alive at the Fillmore East / West, RCA AYL-3798-A, (1969-1980 pressage canadien), estimation 25 euros* / Un achat « juste avant le confinement » que je me félicite d’avoir fait car je l’écoute de temps en temps avec toujours autant de plaisir.

Leur son inimitable symbolise la période flower power et surtout tant de bons moments passés jadis à la même époque même bien loin de la West coast…

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Photos 4, 5, 6 : The Doors « Alive she cried » / Elektra 96-0269-1, (1983), estimation 18 euros* / Les Doors, quelque soit le support, j’ai tendance à acheter, surtout si le prix est raisonnable. Des morceaux enregistrés avec une bonne qualité sonore et des versions qu’il me semble ne pas connaître.

Certes la carrière des Doors a été brève mais comme Jimi, Janis and Co, la richesse des archives sonores permet de découvrir d’innombrables versions de leurs grands classiques au fil de leurs concerts.

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Photos 7, 8, 9 : Cactus « ‘OT’N’ sweaty » / Atco 50 013, (1972), estimation 30 euros* / Cactus, le groupe est bien nommé car « ça pique » question décibels. Créé en 1969 aux USA ils sont vraiment parmi les premiers à produire une musique que l’on commençait à qualifier de hard rock à l’époque et qui a muté en diverses chapelles « métal ».

Leur côté novateur n’a pourtant pas permis à ce groupe d’être parmi les plus grands question vente de disques. Leurs albums étaient réservés aux amateurs purs et durs, ceux qui dédaignaient les singles et les hit parade jugé trop « commerciaux » (comme si un album n’avait pas de vocation mercantile…)

Ce groupe est tout de même resté dans les mémoires. Leur histoire est une suite de séparations/reformations finalement assez fréquente dans l’univers pop-rock.

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Photos 10, 11, 12 : Moot the hoople « Live », CBS 69093, (1974), estimation 30 euros* / Mis à part qu’il s’agit d’Anglais, l’histoire de Moot the hoople peut se comparer à celle de Cactus. Groupe formé en 1969, précurseurs du hard rock, audience limitée en tout cas en France mais tout de même moins « hard » que Cactus. Ils se sont en effet ensuite essayés à des compositions rock progressif, country rock. La collaboration avec Bowie-Ronson leur donna un nouvel essor.

Curieusement tous les disques de ce groupe que je trouve sont en mauvais, voire très mauvais état... Aussi lorsque je tombe sur des exceptions comme ce "live" j'achète...

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Photos 13, 14, 15 : It’s a beautiful day « At Carnegie hall » / CBS 83907, (1979), estimation 30 euros* / Pour beaucoup It’s a beautiful day est matérialisé par la pochette emblématique au niveau graphique de leur premier album éponyme de 1968. L’intro de leur « Bombay Calling » fut reprise dans « Child in time » de Deep purple comme je l’ai signalé dans ma rubrique « ressemblances musicales ».

Considéré comme groupe emblématique Flower power au même type que le Jefferson airplane et le Grateful dead etc. il est tout de même moins connu en France. Peut-être que leur non participation au festival de Woodstock (tirage au sort qui « sortit » à leur place Santana) leur a causé du tort…

Je découvre d’ailleurs en réalisant cette page que ce premier album que je possède, (ainsi qu’un autre), ne figure pas dans les galeries du site, j’y remédierai dès que possible. Vu l'intérêt que je porte à ce groupe il y eut donc pour moi plein de raisons d'acheter ce disque, même tardif relativement à leur grande époque.