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. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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Parmi les disques de ma collection :

1984... 1989 :
5 albums chanson française
"en public"

01/06/2020

(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques.

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Encore des disques assez faciles à trouver et en plus en bon état vu qu’ils sont relativement récents (tout de même 25 ans en moyenne…) Ces pressages ont été réalisés juste avant la première disparition du disque vinyle. On sait que ce support sonore a pu “renaître” progressivement une dizaine d’années plus tard jusqu’à nos jours. Mais ces “nouveaux” disques hélas sont issus quasiment tous de sources numériques. Ces derniers microsillons des années 80 sont une bonne occasion d’écouter ces grands chanteurs français avec le vrai son analogique. Malgré l’audience habituelle des artistes concernés ils ont été produits en quantités relativement réduites. Ils étaient en effet  en concurrence avec les Compact discs qui montaient en puissance et aussi les cassettes audio… Sur les vide-greniers on les trouve souvent avec des prix de vente plus bas que les cotations mentionnées. Ces dernières  reflétent le marché global et prennent également en compte les prix des marchands professionnels (boutiques, conventions, sites de vente en ligne). Ils s'entendent de plus, on ne le répètera jamais assez, en état neuf "parfait".

(Voir les commentaires relatifs à chacun de ces cinq disques sous les photos en bas de la page.

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1 Léo Ferré, triple, “Ferré 87”, RCA NL 70445, (1984), 20 euros* / Six ans avant sa mort, Léo Ferré produit ce triple album en public. Il y a des chansons récentes et aussi bien sûr d’autres tirées de ses nombreux succès… Une sorte de résumé de sa carrière qui hélas approchait de son terme…

2 Michel Jonasz, double, “… en concert”, Atlantic 240 810, (1985), 17 euros*/ Cet artiste à marqué l’époque par son style jazzy, ses chansons souvent tristes curieusement en contradiction avec l’impression d’optimisme et de gaité qu’il exprime sur scène, entre deux chansons…

3 Barbara, double, “Châtelet 87”, Philips 834 040-1 (1987), 15 euros* / Elle ne publiera plus d’albums studio et décèdera dix ans plus tard. On peut, comme pour le disque de Léo Ferré précédent, considérer cet enregistrement comme un résumé de sa carriere… Moi qui avais décidé, vu l’accumulation, de ne plus acheter de disques de Barbara, j’ai pourtant ajouté ce double album en public à tous ceux que j’ai accumulés. Idem d'ailleurs pour l'album précédent numéro 1 de Léo Ferré.

4 Michel Jonasz, double, “La fabuleuse histoire de Mister Swing”, WEA 242-338, (1988), 18 euros*/ Je n’étais pas trop fan de Michel Jonasz, mais j’ai eu l’occasion de le voir sur scène récemment près de chez moi. Les conditions étaient idéales, salle de 400 places, donc suffisamment d’intimité… J’ai été impressionné par sa prestation. C’était sa façon de chanter en forçant trop (à mon avis) sur les inflexions se voulant “jazzy” qui ne me plaisait pas trop. Mais finalement actuellement, peut-être avec l'âge, il en fait un peu moins vocalement et à mon avis ça lui réussit. Du coup j’ai acheté ce double album peu de temps après. De plus certaines longues parties instrumentales sont vraiment réussies. Nul doute qu’il sait choisir ses musiciens.

5 Claude Nougaro, double, “Zénith made in Nougaro”, WEA WE 334 (1989), 16 euros* / Ce show permet d’auditionner en public les chansons de l’album “Nougayork” qui était sorti l’année précédente. Bien entendu, comme dans tout gala qui se respecte des succès anciens sont nombreux sur ce disque. J’évoquais la “concurrence” de des disques avec les CD et cassettes audio, pour celui-ci il y avait aussi une version Laser disc ! Nougaro, peut-être encore plus dans le sud de la France, pas seulement Toulouse, c'était aussi l'ambassadeur d'une culture locale, d'un art de vivre... Comme Cabrel il assumait son accent, voire le magnifiait. Lui ne cherchait pas à le masquer comme tant de célébrités locales "montées à Paris" en "parlant pointu" comme dit.