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. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « Nostalgie des années soixante »

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Parmi les disques de ma collection :

1970... 1986 :
5 albums
"Hard-rock"

15 janvier 2021

(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques.

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Hard rock, metal, heavy… je rassemble un peu tout sur cette page. Cette musique a su évoluer vers diverses variantes qui ont chacune leur public spécifique et donc des collectionneurs intégristes. Certains marchands sur les conventions de disques ne « font » que du hard/métal, c’est le signe d’un style musical en pleine vie. Les deux premiers disques présentés rappellent les débuts de cette musique. Le concept était alors l’alternance entre séquences « paisibles » troublées soudain par le hurlement des guitares. C’était typiquement par exemple le son Black Sabbath… On comprend la référence fréquente à un « méphistophélisme de pacotille (cf. « Rock and Folk »). Comme dans un film d’horreur, les acteurs se baladent dans univers calme, trop calme, la musique certes discrète est toutefois porteuse d’une sourde menace. Il va se passer quelque chose, et ce « quelque chose » va être violent… Et soudain au moment le plus improbable, on bascule dans l’extrême sauvagerie. Le hard rock c’est pareil. Plus tard le son devint plus dur, plus « metal » et les passages « calmes » assez rares. Du début à la fin un déluge de décibels. Seules les pauses, souvent très courtes lorsqu’il y en a entre deux morceaux, permettent de percevoir un sifflement dans ses oreilles brièvement ménagées. Les acouphènes sont parfois le prix à payer si on écoute trop ces sons sataniques… Deux pages précédentes, il y a longtemps, ont été consacrées au hard-rock : CLIQUER ICI, CLIQUER ICI

Cliquer sur les images pour les visionner en (légèrement) meilleure définition.

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Photos 1, 2, 3 / (1970-1976) Black Sabbath LP Eponyme (réédition) NEMS NEL 6002, estimation 35 euros* / Dès que j’entendis ce son, en 1970, j’ai acheté cet album. Hélas, un peu plus d’un an plus tard, il disparut de mes étagères… Vous connaissez l’histoire : j’ai eu l’imprudence de le faire écouter à mon cousin… Ce dernier m’a demandé de le lui prêter… « Ok mais il s’appelle reviens » Et voilà mon précieux album original de Black Sabbath a été en fait définitivement baptisé « adieu »… Finalement j’ai trouvé il y a deux ans cette belle réédition (tout de même des années 70). J’emploie le terme « belle » car bon son, et qualité d’impression de la pochette .

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Photos 4, 5, 6 / (1972) Deep Purple 2 LPs Made in Japan (live), 2c 162 – 93-916, estimation
20 euros* /
Ce concert japonais du groupe a un son finalement proche de celui des albums originaux. Comme il se doit « on stage » il rassemble les divers morceaux les plus connus de Deep Purple. Cependant on bénéficie de versions « allongées » comme il se doit pour les albums « live » c’est un plus à l’écoute. « Child in time… » le public aux premières notes applaudit. Curieux ce besoin en concert de faire savoir aux autres que l’on connaît les morceaux du groupe. C’est fréquent pour beaucoup (trop) de ces doubles, voire triples albums en public nous avons hélas droit à un interminable solo de batterie. Cela donne un peu l’impression de « jouer la montre » pendant que les autres musicos reprennent des forces…

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Photos 7, 8, 9 / (1982) Rose Tatoo LP Scarred for life, Epic EPC 25181, estimation 30 euros* / Sympa à l’écoute ce groupe australien. J’ai acheté ce disque par curiosité juste avant la crise sanitaire, je ne connaissais que de nom. Pas mal… Il y en avait d’autres à vendre en plus de ce « Scarred for life », si j’avais su je les aurais tous pris.

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Photos 10, 11, 12 / (1984) Trust LP « Rock ‘N’ Roll », Epic EPC 26194, estimation 17 euros* / Comme pour beaucoup « mon » premier album de Trust fut « Antisocial ». Ce morceau, avec le temps accompagna, sonos portables à fond, les marcheurs porteurs de gilets jaunes, rouges, voire noirs dans nos centre-ville. J’ai dû acheter un ou deux albums de plus sans retrouver la pêche d’« Antisocial ». L’achat de leur quatrième album en revanche dévoile une ambiance sonore un peu différente bien que l’on identifie sans peine la voix efficace et caractéristique de Bernie Bonvoisin. Le retour vers le rock original affiché dans le titre de l’album doit sans doute motiver mon intérêt pour ce disque. Leur longue suite de séparations, reformations n’est-elle pas la meilleure illustration de l’esprit rock ? Sur la photo de la pochette nous trouvons nos amis de Trust en tenue de travail.Tel le bûcheron enfile ses bottes et va saisir sa lourde cognée, le hardeur chausse ses fines bottines et va empoigner sa guitare pour marteler son son lourd...

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Photos 13, 14, 15 / (1986) Iron Maiden LP Somewhere in time,  DMM 2405971 A, estimation 20 euros* / Belle pochette style BD, le son « Iron Maiden », encore un achat judicieux dans la mesure où le prix n’est pas trop élevé… Pour moi, vu mon intérêt pour les années 50-60, ce disque est « nouveau »… Pour certains jeunes de ma connaissance ce sont « des vieux trucs » qu’ils aiment (pourtant) écouter… Et il est vrai que le look graphique de la pochette rajeunit le disque au premier regard !