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. Récapitulatif de l'ensemble des parutions de la rubrique « "Histoires" de disques »

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Parmi les disques de ma collection :

Cinq super 45 tours
"yéyé-twist-SLC"
(n° 11)

15/12/2019

(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques.

Pour accéder aux photos ci-dessous en très haute définition, réaliser un diaporama...

« Souvenirs, Souvenirs » ce titre du premier 45 tours présenté résume bien ma démarche vers ces disques « yé-yé ». Plus que l’intérêt musical c’est la nostalgie du temps où ado j’écoutais ces interprètes principalement sur « SLC ». Ces pochette glacées sont un peu mes « Panini », les plus rares sont les plus précieuses. Ce sont souvent les mêmes titres (Sheila, Claude François…) qu’on trouve dans les vide-greniers. Cela prouve que l’esprit « mouton de panurge » existait aussi en ces temps reculés. Le plus grand nombre achetait les très grands succès et certains, peu nombreux, s’intéressaient  à des artistes certes moins « matraqués » mais souvent plus créatifs et originaux.

Références, cotations, commentaires sur ces disques sous les photos, en bas de page.

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1. Johnny Hallyday, (1960), « Souvenirs, Souvenirs », Vogue EPL 7 755, 30 euros* / En 1960, pour la France, en tout cas pour moi, c'était Johnny qui "balançait" le premier. Une cotation relativement modérée vu l'aspect "historique" du disque mais Johnny en a vendu beaucoup et il en reste encore... Ce n'est que plus tard que je découvris la réalité "vraie" du rock and roll avec les morceaux originaux fabuleux "adaptés" par Johnny et tous les autres "yé-yé" qui vont suivre.

2. Eddy Mitchell, (1963), « C'est grâce à toi », Barclay 70 564, 15 euros* / "Msieu Eddy" venait juste de tenter sa chance en solitaire (mais pas en solidaire pour les membres de son défunt groupe...) C'est la vie, finalement il a fait le bon choix, une longue carrière s'ouvre à lui.

3. Les Players, (1964), « Le pénitencier », Polydor 27 148, 30 euros* / Là on a un groupe "oublié" typique. La reprise du classique sixties "House of the rising sun" ajoute de l'intérêt. Mais beaucoup d'autres sont sur le coup et connus, eux... Reste un disque rare, donc les collectionneurs s'y intéressent, donc une cotation relativement élevée.

4. Ronnie Bird (1965), « Elle m'attend ! », Decca 460.918, 30 euros* / Il avait le look "Mod à la française". Sur la photo sa coupe de cheveux ne le met pourtant pas particulièrement en valeur, d'autres de ses pochettes sont plus réussies. A l'écoute c'était sympa à écouter, surtout par comparaison avec beaucoup d'autres chanteurs yéyé. En étant fans certains, dont je faisais partie, se démarquaient des amateurs de musique "gentillette", l'invasion du "british rock" était bien plus présente à l'écoute.

5. Annie Philippe, (1968), « Le même amour », Flèche CF 004, 30 euros* / Elle avait déjà plusieurs succès à son palmarès. "Récupérée" par l'écurie de Claude François (disques Flèche) elle approche de la fin de sa notoriété. Mais reste dans les mémoires de certains, comme votre serviteur. Une chanteuse yé-yé sexy, des morceaux souvent sympas, j'aimais bien. Elle est réapparue bien plus tard dans la mouvance du retour des vinyles. Elle chante pour un public nostalgique, notamment durant certaines manifestations de collectionneurs.