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Parmi les disques de ma collection :

5 albums "Variétés françaises" (n° 17)

01/12/2019

(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques.

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La (grande) chanson française continue de m’intéresser. Les disques qui cumulent un certain nombre de critères : artistes recherchés, -à leurs débuts, -en éditions rares et bien entendu -en bon état, vous le verrez ci-dessous ont des cotations élevées. Mais l’immense majorité  de la « variétoche », même « BIEM » est abordable question prix. Reste à les dénicher et en plus en bon état… Contrairement aux originaux pop-rock sixties on a une chance raisonnable de trouver des choses vraiment intéressantes avec de la pugnacité sur les vide-greniers.

(Voir les commentaires relatifs à ces cinq disques sous les photos en bas de la page.

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1, 2, 3. Léo Ferré, (1958), « ... à Bobino », Odéon OSX 132, 50 euros* / Ce « live à Bobino » est à ma connaissance un tirage unique de Léo Ferré. Souvent en effet, comme pour Barbara on va trouver pour ces artistes le même disque avec des versions différentes. Cela explique sans doute cette cotation élevée. Je m’étais promis (voir des rubriques plus anciennes) de ne plus acheter « du » Léo Ferré vu que je commence à avoir du stock… Mais devant une telle pièce, en bon état, en plus pour dix euros, que voulez-vous…

4, 5, 6. Barbara, (1965), « 1958 1959 », Pathé FELP 280, 55 euros* / Pour les disques de Barbara c’est un peu le même cas de figure que pour le disque précédent. Encore un disque très rare, en bon état, proposé par le marchand précédent, cette fois cinq euros ! Certes Barbara a les cheveux courts sur la pochette ce qui théoriquement indique le disque ancien. Mais il s’agit d’une compilation de 1965 consacrée à ses premières chansons, « d’avant qu’elle commence à être connue ». Il n’a pas dû être vendu en grande quantité, jusqu'ici je ne l'avais vu que sur une revue spécialisée, donc la cotation, vous connaissez la chanson…

7, 8, 9. Georges Brassens, (1965), « IV », 844 753 BY, 10 euros* / Comme pour le disque précédent il s’agit de titres créés souvent durant les années cinquante. Ils sont rassemblés sur un 30 cm bien plus dans l’air du temps que les 25 cm originaux dont la fabrication va s’arrêter précisément en 1965. En plus il s’agit d’une série numérotée que certains fans achètent numéro après numéro. Dommage tout de même pour les collectionneurs qu’il y ait cette pochette unique ou alors avec de légères différences, juste avec des numéros qui changent. Les retirages ultérieurs de cette série, dont la sortie correspond à la période « grand succès » du grand Georges ont des pochettes différentes. CLIC ICI. Elles ont la particularité de représenter toutes une photo de guitare plus ou moins en cours de fabrication… Ces nouvelles versions seventies sont peu intéressantes au sens « collection » car ultra répandues. Mais si c’est juste pour écouter elles sont souvent en bon état.

10, 11, 12. Marie Laforêt, (1966), « Album 2 », Festival FLD 359 S, 20 euros* / Elle est hélas décédée le 2 novembre dernier. Marie Laforêt j’aimais bien et j’assume, du moins au niveau musical ses trois premiers albums. Celui-ci, son second, fut moins diffusé et bénéficie d’une cotation relativement supérieure à son premier, (présenté dans une galerie précédente, CLIC ICI) propulsé par son grand succès « Viens sur la montagne ».

13, 14, 15. Albert Raisner et son trio, (197?), « Le roi de l'accordéon », Musidisc 30 CV 1160, 10 euros* / Albert Raisner, pour ceux qui l’ignorent était avant tout un harmoniciste qui eut un certain succès durant les années soixante. Le fait qu’il fut choisi pour animer l’émission télé « Age tendre et tête de bois » la rendu célèbre au niveau national. L’harmonica, même utilisé par Albert d’une façon plus « variétés » que blues rock reste agréable à écouter. Il y eut une mode autour de cet instrument, écouter (pas trop longtemps) certains de ces instrumentaux est là encore porteur de nostalgie. La date de pressage de ce disque est une énigme, je suppose au tout début des années 70.