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Parmi les disques de ma collection :

1960... 1970 :
5 albums "Pop-Rock " (n° 22)

01/01/2020

(*) Les cotations mentionnées s'entendent pour des vinyles en état neuf, dans le cas contraire un barème "d'usure" doit être appliqué. Les disques sont présentés chronologiquement. Lien vers la grille codifiant l'état des disques.

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Aucun pressage français dans cette série de cinq albums. Les disques des Everly Brothers et John Cale ont été trouvés sur un vide-greniers a des prix particulièrement intéressants. Les trois autres albums ont été négociés à la convention du disque de collection de Bordeaux fin 2018 et début 2019, là c'est un peu plus cher mais il y a du choix... Ceci dit (plutôt écrit) on arrive tout de même à se procurer des albums pop-rock sixties a des prix abordables mais il faut chercher méticuleusement et avec persévérance... d'autant que dans les conventions de collectionneurs vinyle prestigieux à prix bas = risque de craquements.

(Voir les commentaires relatifs à ces cinq disques sous les photos en bas de la page.

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1, 2, 3. The Everly Brothers, (1960), « A date with the Everly Brothers », Warner Bros WM 4028 (pressage anglais), 40 euros* / Ce duo de chanteurs américains existe au niveau vinyles depuis 1955. Ils eurent pas mal de succès dans la pop US jusqu’à 1973, période où ils furent détrônés par les groupes anglais. Il furent très importants dans l’évolution musicale de l’époque. Beatles, Beach Boys, Bee Gees, Simon and Garfunkel se déclarèrent influencés par leur style. En France on les connaît surtout indirectement par les nombreuses reprises de leurs succès par divers chanteurs yé-yé durant les années soixante.

4, 5, 6. The Move, (1967-1980), album eponyme, Polydor 24 75 663, (pressage espagnol), réédition, 25 euros* / Ce groupe relativement peu connu en France permet d’auditionner une autre facette du son pop-rock sixties anglais. C’est sympa d’écouter des albums de ce style musical mais moins familiers que nombre d’albums que l’on connaît par cœur. Ils débutent au milieu des années soixante. Leurs prestations scéniques, inspirées par celles des Who étaient délirantes, ils avaient eux aussi le look Mod. En 1972 leur musique change progressivement et la plupart des membres du groupes participent à Electric Light orchestra (ELO).

7, 8, 9. The Lovin' Spoonful, (1968), « Everything playing », Kama Sutra KLPS 8061 (pressage USA), 30 euros* / J’ai déjà présenté et donc commenté plusieurs disques de ce groupe US. Je ne me répèterai donc pas sinon pour rappeler mon intérêt pour ce groupe et donc le fait que j’achète ses disques lorsque de bonnes affaires se présentent…

10, 11, 12. The Masked Marauders, (1969), album éponyme, Deity RS 6378 (pressage USA), 30 euros* / Quelque part sur le site… j’ai déjà présenté ce groupe autour du single paru durant les sixties. Il commence à y avoir pas mal de pages, impossible de retrouver… Ce simple présentait le morceau vedette de l’album "I Can't Get No Nookie" qui donne déjà une idée de sa démarche « récupératrice ». L’époque était aux "super groups", rassemblement éphémères de grandes pointures pop-rock, aux disques pirates réalisés plus ou moins avec l'accord es artistes concernés sur le dos des producteurs… « Rock and Folk » évoqua ce groupe mystérieux susceptible de rassembler « incognito » d’où le nom du groupe rien moins que : Bob Dylan, George Harrison, Paul Mac Cartney. Il s’agissait bien entendu d’une sorte de compromis entre l’arnaque et le gag… Le résultat est cet album, le comble c’est qu’il n’est pas désagréable à écouter. Cela reste une curiosité et donc, après avoir acheté le single, lorsque je suis tombé sur l’album…

13, 14, 15. John Cale, (1970), « Vintage violence », Columbia CS 1037 (pressage USA), 55 euros* / Il s’agit du premier album solo de celui qui, associé à Lou Reed fut l’âme du Velvet underground. Il est dit que les grands groupes pop fonctionnaient souvent en binôme… John Cale va quitter le Velvet en 1968 pour « incompatiblité d’humeur ». Ses recherches musicales sont parfois proches de la musique expérimentale. L’album « Songs for Drella » qui matérialise une des retrouvailles musicales avec Lou Reed permet de mesurer la complémentarité de ces deux artistes qui hélas eurent des rapports conflictuels. A noter pour l’anecdote, surtout pour les Bordelais, le petit macaron sur le côté droit de la pochette « Import Cobra music, 12, rue Judaïque, Bordeaux » nostalgie encore et toujours…